Pas d’arômes ou d’extraits,
mais toujours de véritables épices
Pour un gin ou un genièvre, les épices sont d’une importance capitale, car c’est ce qui permet véritablement de faire un gin. Nous essayons tant que possible de nous approvisionner localement, mais certaines d’entre elles ne se trouvent cependant qu’à l’autre bout du monde. Heureusement, nous n’avons besoin que de petites quantités d’épices, et cela vaut tout particulièrement pour celles qui viennent de loin. La verveine et le millepertuis proviennent par exemple de nos régions, nous récoltons aussi nous-mêmes les fleurs de sureau ou les fleurs des cerisiers japonais, alors que les baies de génévrier viennent de Macédoine, pourquoi ? Tout simplement parce qu’elles sont bien meilleures. Les algues japonaises viennent sans surprise du Japon, tandis que le thé Pu-er vient des montagnes chinoises. Ces épices sont toujours séchées, ce qui permet de les transporter via la mer. Si nous avions opté pour des épices fraîches, nous aurions dû les faire transporter par avion, ce qui va à l’encontre de notre vision.
Nous avons en permanence près de 80 sortes d’épices et de fruits en stock. Cela nous permet également de développer rapidement des gins sur mesure pour nos clients.